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• Gencenay premier jet a été écrit (à la main, à l'époque) en trois mois, à raison d'une heure environ par jour. Enterré, repris, revu, corrigé, mais pas trop, ce récit a connu fin 1994 grâce à Serge Dalens la gloire de l'édition sous label « Signe de piste », avec illustrations de Pierre Joubert. En dépit de quelques coquilles et des couleurs discutables de la couverture, pas de regrets.
• Depuis, les idées n'ont pas manqué, mais le temps s'est fait rare. Un jour peut-être… Thème récurrent de ses réflexions et projets : placer un ou plusieurs jeunes garçons ou filles face à la perturbation, voire au changement radical et rapide de leur univers, de leur quotidien, de leurs habitudes, avec des moyens dérisoires sinon nuls de défense, et observer comment ils s'en sortent. Car par ailleurs ils doivent s'en sortir, sinon quel intérêt ?
• Au-delà des compliments, souvent excessifs d'après lui, formulés sur Gencenay, il se pose parfois une question : combien de (jeunes) lecteurs ces pages ont-elles incité à parcourir pieds nus jardins, prés et bois, comme il a lui-même appris à l'apprécier ? Témoignages, récits et au besoin photos bienvenus… par l'intermédiaire de l'association des Amis du Signe de Piste.
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